Quand les « FLAM » parlent de questions qu’elles ne connaissent pas beaucoup



Le parti des FPC, l’aile politique du mouvement des ex-FLAM, a accusé le Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, de recourir de manière peu scrupuleuse, à la vente des rares espaces agricoles qui restent de la vallée, décrivant cette mesure de poursuite des mêmes politiques de confiscation programmées depuis la réforme injuste de 1983.

Le parti a présenté ses propositions sur le problème foncier dans la vallée, précisant que toute réforme foncière doit reposer sur des principes, dont le premier porte sur l’attribution de « la zone du Waalo» (surface inondable) aux autochtones, eu égard aux critères de l’encouragement de l’initiative privée et de l’intégration économique ainsi que de la proximité géographique ou culturelle » fin de citation.

En fait, le mouvement des « FLAM » ne cesse de parler de questions qu’il maîtrise peu, mettant à contribution le climat inédit des libertés en Mauritanie, dont le privilège revient au Président Mohamed Ould Abdel Aziz, arrivé au pouvoir au moment où les les leaders du mouvement étaient exilés à l'étranger , leur ouvrant les portes, sans tracasserie aucune, jusqu’à demander la sécession du Sud mauritanien, à partir de Nouakchott, au cours d’une conférence de presse organisée librement à Nouakchott.

Parler actuellement de la vente des terres et de l'injustice sociale est contraire à la réalité et ne manque pas de supercherie politique découverte.

Les leaders des « FLAM » doivent t être conscients que les choses en Mauritanie, ne sont plus comme auparavant, que l’ère du marchandage des questions sociales est à jamais révolue, que l'Occident n’est plus intéressé par ceux qui parlent d’exclusion et de marginalisation, afin de leur établir des visas d’asile politique comme cela était le cas dans les années 80 du siècle dernier.

La Mauritanie qui accueille tous ses citoyens dans un climat de liberté sans précédent, n’est plus cette vache à lait détenue par ceux qui lèvent le slogan «Prenez ses biens et n’en faites pas une nation ».
Les mauritaniens, y compris les « Flam » doivent assimiler la leçon et vivre entre les leurs ainsi qu’à laisser les slogans creux, dés lors où tout le monde est unanime que la Mauritanie est une et indivisible, pour toutes ses composantes.

Les autorités administratives, judiciaires et sécuritaires sont par ailleurs capables de rendre justice à toute victime sur cette chère terre.

L'option disponible aujourd'hui est de monter à bord de la locomotive conduite par le Président Mohamed Ould Abdel Aziz, sinon, continuer à se larmoyer sur les ères dictatoriales odieuses qui ne reverront jamais le jour.


Source: http://atlanticmedia.info

Jeudi 28 Mai 2015
Boolumbal Boolumbal
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