Le racisme pourrait être défini comme étant une attitude discriminatoire dirigée contre un groupe de personnes partageant des caractéristiques ethniques(Añiraaɓe sibu mbaadi mumen). Mais,il y’a aussi le racisme linguistique qui est la dernière forme de racisme notamment en Mauritanie et qui constitue le paradoxe à une probable unité nationale.
Et pourtant, ALLAH dit : "Ô vous les hommes ! Nous vous avons créé à partir d’un mâle et d’une femelle. Nous vous avons partagé en peuples et en tribus afin que vous vous connaissiez. Le plus honorable d’entre vous auprès d’Allah, c’est le plus pieux" (Huɗaaɓe nani meerni).
Mais, aujourd’hui encore en Mauritanie « pays islamique »(ina wiye noon), les négro mauritaniens (peuls, Soninkés, wolofs et bambaras),se voient toujours refuser des droits démocratiques par leurs caractère ethniques (Noir),mais aussi par une incapacité linguistique à maîtriser les rudiments de la langue Arabe ou le Hassaniya(Mbele mbaawa kaala,nde keƴa).
La réaction, au cours d’une session parlementaire de Amty mint Hamady(Jaaɓorgal), ministre de la fonction publique fait preuve d’une mauvaise mentalité et intention.
On sait bien que même si Amty mint Hamady, respecte la frauduleuse « constitution » du colonel Ely ould Mohamed vall, innovateur du slogan « je vote oui » qui fait de l’arabe langue « officielle », il y’a aussi cet esprit de vouloir soutenir la marginalisation, l’écartement des autres groupes ethniques qui ne sont pas interlocuteurs de la langue Arabe.
Mais pour une personne humaniste,consciente de l’histoire de la Mauritanie depuis la veille des années 1966, un pays, qui a connu le chagrin, la douleur des séparations, la présence de la mort et des millier d’exilés à cause des gouvernements ségrégationnistes, elle doit œuvrer positivement pour changer la cours de l’horrible histoire de la Mauritanie.
OUI !l’Etat Mauritanien est dans l'obligation de mettre un terme à ce système raciste, renoncer à cette politique d’arabisation dont le but est de marginaliser les négro mauritaniens, abolir l’esclavage au vrai sens du terme, ne faire vivre mieux certains au détriment des autres, mettre fin aux gaspillages de la richesse du pays. Voilà en quoi se résume le bilan désastreux de ces 50 années écoulées.
Sarr Abdallahi dit
Demba Sarr
Et pourtant, ALLAH dit : "Ô vous les hommes ! Nous vous avons créé à partir d’un mâle et d’une femelle. Nous vous avons partagé en peuples et en tribus afin que vous vous connaissiez. Le plus honorable d’entre vous auprès d’Allah, c’est le plus pieux" (Huɗaaɓe nani meerni).
Mais, aujourd’hui encore en Mauritanie « pays islamique »(ina wiye noon), les négro mauritaniens (peuls, Soninkés, wolofs et bambaras),se voient toujours refuser des droits démocratiques par leurs caractère ethniques (Noir),mais aussi par une incapacité linguistique à maîtriser les rudiments de la langue Arabe ou le Hassaniya(Mbele mbaawa kaala,nde keƴa).
La réaction, au cours d’une session parlementaire de Amty mint Hamady(Jaaɓorgal), ministre de la fonction publique fait preuve d’une mauvaise mentalité et intention.
On sait bien que même si Amty mint Hamady, respecte la frauduleuse « constitution » du colonel Ely ould Mohamed vall, innovateur du slogan « je vote oui » qui fait de l’arabe langue « officielle », il y’a aussi cet esprit de vouloir soutenir la marginalisation, l’écartement des autres groupes ethniques qui ne sont pas interlocuteurs de la langue Arabe.
Mais pour une personne humaniste,consciente de l’histoire de la Mauritanie depuis la veille des années 1966, un pays, qui a connu le chagrin, la douleur des séparations, la présence de la mort et des millier d’exilés à cause des gouvernements ségrégationnistes, elle doit œuvrer positivement pour changer la cours de l’horrible histoire de la Mauritanie.
OUI !l’Etat Mauritanien est dans l'obligation de mettre un terme à ce système raciste, renoncer à cette politique d’arabisation dont le but est de marginaliser les négro mauritaniens, abolir l’esclavage au vrai sens du terme, ne faire vivre mieux certains au détriment des autres, mettre fin aux gaspillages de la richesse du pays. Voilà en quoi se résume le bilan désastreux de ces 50 années écoulées.
Sarr Abdallahi dit
Demba Sarr
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