MAURTANIE: LE BAATHISME ET NOUS



LE BAATHISME ET NOUS: La démocratisation de plusieurs pays africains après Baule fait ressortir davantage la nature anachronique du pouvoir du petit protégé de Saddam. Au total, l’alliance avec Bagdad et la "mère des déroutes" auront accéléré la crise d’un régime que sa folie raciste condamnait de toute façon à plus ou moins long terme. Prenant acte de la nouvelle donne (déroute de Saddam, libéralisation politique en Afrique, montée du mécontentement interne), le colonel Taya réfreine ses ardeurs pro-saddamistes et engage un simulacre de démocratisation qui le remettrait dans l’air du temps. Mais chassez le naturel, il revient au galop; dictateur devant l’éternel, Taya ne pouvait changer. Il met le système dans l’impasse.

Août 2005 : Ely son bras droit, notre Barzan Ibrahim Tikriti local entendez l’alter ego de l’ancien chef des services de renseignements irakiens, ne pouvait rester impassible ce n’était plus Taya qui était menacé mais tout le système et ses hommes. Ely n’avait pas le choix, il fallait "dégripper la machine" (selon ses propres mots), et c’est ce qui expliquait l’acte I du putsch du 3 août 2005, tout le reste n’est que du théâtre. Ely, Aziz, Deddahi, et les autres du système n’étaient et ne sont venus que pour sauver leurs intérêtes immédiats, tout le reste n’est que du "khourouj", comme on dit chez nous. Taya est parti mais le SYSTÈME n´est pas "taillé".
Nos pensées pieuses à nos déportés, à nos martyrs et à toutes les victimes du couple satanique Taya-Saddam.
La lutte continue !
LE BAATHISME ET NOUS: La démocratisation de plusieurs pays africains après Baule fait ressortir davantage la nature anachronique du pouvoir du petit protégé de Saddam. Au total, l’alliance avec Bagdad et la "mère des déroutes" auront accéléré la crise d’un régime que sa folie raciste condamnait de toute façon à plus ou moins long terme. Prenant acte de la nouvelle donne (déroute de Saddam, libéralisation politique en Afrique, montée du mécontentement interne), le colonel Taya réfreine ses ardeurs pro-saddamistes et engage un simulacre de démocratisation qui le remettrait dans l’air du temps. Mais chassez le naturel, il revient au galop; dictateur devant l’éternel, Taya ne pouvait changer. Il met le système dans l’impasse.

Août 2005 : Ely son bras droit, notre Barzan Ibrahim Tikriti local entendez l’alter ego de l’ancien chef des services de renseignements irakiens, ne pouvait rester impassible ce n’était plus Taya qui était menacé mais tout le système et ses hommes. Ely n’avait pas le choix, il fallait "dégripper la machine" (selon ses propres mots), et c’est ce qui expliquait l’acte I du putsch du 3 août 2005, tout le reste n’est que du théâtre. Ely, Aziz, Deddahi, et les autres du système n’étaient et ne sont venus que pour sauver leurs intérêtes immédiats, tout le reste n’est que du "khourouj", comme on dit chez nous. Taya est parti mais le SYSTÈME n´est pas "taillé".

Nos pensées pieuses à nos déportés, à nos martyrs et à toutes les victimes du couple satanique Taya-Saddam.
La lutte continue !

Source: Oumar Dia

Mardi 22 Avril 2014
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