Le régime mauritanien au pouvoir a émis deux mandats d’arrêt internationaux contre Mohamed Ould Bouamatou et son directeur commercial Mohamed Ould Debbagh, ainsi qu’un mandat d’arrêt émis il y a des années contre l’opposant Moustapha Ould Chavi-i.
Les observateurs ont écarté l’extradition d’aucune de ces trois personnalités par les pays qui les hébergent en raison de deux facteurs principaux :
Tout d’abord, les accusations portées contre les personnes citées sont d’ordre politique, ne peuvent être invoquées par aucune institution internationale . D’autant plus que les textes portés dans la formulation de ces mandats d’arrêt ne comportent que des phrases détachées envoyées sans fondements juridiques.
Le deuxième facteur est la vision de la plupart des pays occidentaux et de certains pays voisins , du régime du président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz qui considèrent que son régime est illégal et qu’il est venu au pouvoir à travers un cout d’état militaire le 6 août 2008.
Ils trouvent aussi que la plupart des étapes qu’il a entrepris -depuis sa prise du pouvoir- pour rétablir le processus démocratique dans le pays, sont superficielles et déplorables et ont élargi le fossé entre l’opposition démocratique et le palais présidentiel dont le locataire a pris en main le monopole de toutes les décisions , loin d’une convenance participative, règle fondamentale de tout système démocratique.
Source : https://www.anbaa.info/?p=36218
Traduit par Adrar.Info
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Les observateurs ont écarté l’extradition d’aucune de ces trois personnalités par les pays qui les hébergent en raison de deux facteurs principaux :
Tout d’abord, les accusations portées contre les personnes citées sont d’ordre politique, ne peuvent être invoquées par aucune institution internationale . D’autant plus que les textes portés dans la formulation de ces mandats d’arrêt ne comportent que des phrases détachées envoyées sans fondements juridiques.
Le deuxième facteur est la vision de la plupart des pays occidentaux et de certains pays voisins , du régime du président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz qui considèrent que son régime est illégal et qu’il est venu au pouvoir à travers un cout d’état militaire le 6 août 2008.
Ils trouvent aussi que la plupart des étapes qu’il a entrepris -depuis sa prise du pouvoir- pour rétablir le processus démocratique dans le pays, sont superficielles et déplorables et ont élargi le fossé entre l’opposition démocratique et le palais présidentiel dont le locataire a pris en main le monopole de toutes les décisions , loin d’une convenance participative, règle fondamentale de tout système démocratique.
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